Le stress n’est pas une fatalité. Si on a parfois besoin de se « mettre la pression » trop de stress peut gâcher votre vie et celle des autres. N’attendez pas qu’il provoque des maladies. Si vous en avez gros sur la cafetière, reprenez-vous en main, avant que la marmite n’explose.

 

            Le stress, c’est le grand méchant loup de ce début de siècle.

On l’accuse de tous les maux. Non content de nous rendre insomniaque, agressif, inefficace, il en veut à notre cœur et perturbe nos artères. Il est source d’hypertension, d’hyperacidité stomacale, peut provoquer des ulcères et déclencher de multiples complications.

Il est vrai, qu’avec le stress, on nage en plein paradoxe. Cette «  brûlure interne » (burn out) est à l’origine d’un grand nombre de maladies des temps modernes.

Lorsqu’on dit, «  je suis stressé »  cela signifie en réalité, « je me sens mal ».

Mais c’est oublier un peu vite les bons côtés du stress. Indispensable à l’organisme, il favorise même son épanouissement. «  sans stress, nous ne nous lèverions pas le matin. Il nous évite de devenir de vrais légumes. »

D’ailleurs, le stress est aussi présent dans les instants de victoire, de créativité, de conquête et de sensations fortes.

Vouloir supprimer le stress est, non seulement une utopie, mais aussi une hérésie. A la fois ennemi et ami, il faut apprendre à le gérer, à l’apprivoiser. On doit l’utiliser pour qu’il nous stimule, l’éliminer lorsqu’il nous veut du mal. C’est chose possible, à condition de le vouloir.

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